Un jour peut-être quand l’IA sera moins énergivore
En attendant, nos multiples intégration depuis plus de 20 ans nous ont amenés à conclure qu’il était préférable de le faire par un humain qui comprend le contenu : au lieu d’une moulinette « stupide » qui va aboutir à une intégration très peu qualitative et une perte inévitable de sens par rapport à la source originale, un humain va interpréter le contenu et l’intégrer intelligemment dans le modèle documentaire pour aboutir à une version améliorée, mieux structurée, grâce au modèle documentaire sous-jacent.
Quand c’est l’auteur lui-même qui fait cette intégration c’est encore mieux, les témoignages montrent qu’il est en général très content du résultat et des améliorations qu’il a apporté à son contenu ! Lors de reprises plus massives (sans l’auteur), faire appel à des étudiants/stagiaires est souvent une option intéressante pour tous.
Concrètement, en passant par copier/coller, si l’application source peut fournir une forme html, de nombreux éléments de la structure textuelle sont préservés. Privilégier par exemple la suite libre-offfice à celle de Microsoft pour les listes à puce en particulier (Microsoft Word ne respecte pas correctement le standard html).
Merci pour cette réponse qui me conforte dans ma pratique. est-ce qu’on a une expérience autour d’un import de type Markdown par rapport au html ? Un/des points de vigilance ?
Sur l’action « coller » Scenari transforme le markdown en html pour le traduire ensuite dans le schéma cible de Scenari, donc pas de réelle différence avec une source html. Passer par markdown est peut-être même préférable : on est au moins sûr d’avoir une source html pas trop biscornue ! Par contre, je crois que les tableaux en markdown par exemple ne seront pas importés (à vérifier, je ne sais plus, ca commence à dater ce code ).
on a l’intention de faire une série de mini-webinaires centrés sur le mode guidé de scenariStyler et dirigés spécifiquement à la modification de certaines choses que l’on ne peut pas faire en mode formulaire, par exemple :
ajouter un logo dans l’entête
mettre une police de caractères personnalisée
changer l’iconographie de l’interface
…
Pour mieux calibrer ces mini-webinaires, j’aurais besoin que vous me répondiez à ces deux questions :
quelle(s) modification(s) d’habillage, que l’on ne peut pas faire en mode formulaire, aimeriez-vous apprendre à faire ?
que préféreriez-vous ? :
plutôt aborder plusieurs modifications pour un seul et même générateur ?
(par exemple « ajouter un logo » et « changer l’iconographie » seulement pour le générateur web)
Ou bien plutôt une seule modification mais sur plusieurs générateurs ?
(par exemple « ajouter un logo » sur pdf, web et diapo)
Bonjour Loïc,
Ma préférence va sur la seconde proposition : 1 modif sur plusieurs générateurs (ce qui est souvent le cas en rédaction technique - Dokiel).
Pour les thèmes d’apprentissage :
Gestion de l’habillage, notamment des sauts de page (par exemple, forcer un saut de page avant la table des matières pour commencer page impaire ; si la TM contient un nombre impair de pages, alors forcer un saut de page pour avoir le premier texte de chapitre en page impaire (commencer page de droite à l’impression)
Gestion des sauts de page pour les tableaux : empêcher que l’entête soit en bas de page et que la suite du tableau soit dans les autres pages
Gestion des entêtes et pieds de pages avec les informations standards : version, date, nom du client, nom du document
Hello JP,
Tentative d’explication à partir de mon exemple, captures d’écran à l’appui. J’ai introduit une police maison. Elle est dans un dossier skin.doss que j’ajoute comme indiqué ci-dessous.
Dans l’explorateur, ce dossier est au niveau de la racine comme voici :
à noter que le format woff ne fonctionne pas, je me sers du format otf.
Je déclarer une variable dans Root :
Puis j’écris l’instruction suivante :
Où l’on comprend que lorsque que la police est utilisée, le programme va la chercher à l’endroit indiqué par le chemin de l’URL, exemple dans l’instruction suivante qui utilise la police pour le titre:
Pour les fonts (notamment Google fonts) vous pouvez également avoir une notion de poids (qui correspond à normal, gras, italique).
La font est donc suffixée d’un chiffre.
Il suffit de prévoir cela dans les fonts comme le montre [SD_leCnam]