Depuis l’installation de 6.2 (versions 6.2.1 et à présent 6.2.3) (debian package) version anglaise:
dans un atelier dérivé ou un atelier brouillon il est à présent proposé de créer un atelier brouillon (ce qui ne devrait pas être possible) et il n’est plus possible de dériver (en second niveau, ce qui était possible auparavant et fonctionnait très bien).
la fonction de dérivation n’est possible que dans l’atelier principal.
Copie d’écran depuis un atelier dérivé : pas possible de dériver en second niveau, et possible de créer un atelier brouillon (ce que je n’ai pas tenté pour ne pas risque de compromettre les structures existantes)
Ai créé un atelier principale « test ». Ensuite un draft et un dérivé. Le dérivé ne permet pas de créer un nouveau niveau de dérivation, mais bien un draft … voici le résultat …
Atelier « brouillon » : votre copie d’écran le montre, il est bien possible de créer des ateliers « brouillon » à partir de l’atelier « racine », d’un autre atelier « brouillon » ou d’un autre atelier « dérivé », les trois sont possibles et pertinents fonctionnellement en fonction des situations, ce n’est pas une erreur. Un atelier « brouillon » a structurellement un et un seul atelier de « référence », non modifiable.
Atelier « dérivé » : le principe d’atelier dérivé est plus souple, il n’a pas un et un seul atelier de « référence ». Un atelier « dérivé » peut définir une chaine ordonnée de plusieurs ateliers « sources de dérivation » et cette chaine de dérivation est modifiable. C’est pourquoi, structurellement, les ateliers sont toujours créés à partir de l’atelier « racine », puis on édite sa chaine de sources de dérivations parmi les autres ateliers dérivés:
Heu … Jusqu’à présent un atelier racine a un seul brouillon et pouvait avoir plusieurs dérivés. Dans le cas de plusieurs brouillons, le principe de validation des éléments du brouillon serait en conflit.
Dans notre utilisation (depuis 6 ans) nous avons un aterlier brouillon (contenu à valider), un atelier racine (contenu validé) des ateliers dérivés par langue (FR, PT, ES, …) et pour chaque langue un second niveau de dérivation par pays (FR-France, FR-Belgique, GE-Allemagne, GE-Autriche). Lorsqu’une modification est validée au niveau du brouillon, elle est automatiquement appliquée au principal et, en cascade aux dérivations. Nous créons le second niveau en derivant du premier niveau. Et il m’est arrivé de créer un troisième niveau pour utiliser les fonctionnalités OPALES dans du contenu dérivé d’un atelier dérivé de second niveau en Topaze.
Hors, depuis cette version 6.2 il n’est pas possible de dériver en second niveau et je m’interroge sur la fonctionnalité d’un brouillon de brouillon ou de brouillon de dérivations. Mon impression est qu’il y a une inversion des menus. Pour l’atelier racine, c’est sans conséquence, puisqu’on peut à la fois en avoir un brouillon et des dérivés.
Je joint une copie de la formation dispensées au group des 30 utilisateurs qui contribuent au dévelopement du contenu en Topaze, dérivé dans 12 langues EU et pour certaines dérivations, dans un second niveau pour les pays.
La manipulation qui était avant possible en derivant un atelier dérivé requier à présent de créer le dérivé de la racine et ensuite d’éditer les dépendances (comme ici, de placer le derivé en dépendance de l’aterlier derivé de premier niveau espagnol). Auparavant il était possible de créer cette dérivation de second niveau à partir de la dérivation de premier niveau.
pour les ateliers « brouillons » multiples je m’interroge sur les principes de validation appliqués
Sans précaution particulière, créer plusieurs ateliers brouillons sur un même atelier référence peut en effet amener à des remplacements de contenus qui ont été validés par ailleurs. Ce scénario d’usage n’est pertinent que lorsque les auteurs travaillant chacun dans leur propre atelier brouillon sont restreint en écriture sur des espaces disjoints, ainsi aucun conflit n’est possible.
je m’interroge sur la fonctionnalité d’un brouillon de brouillon ou de brouillon de dérivations.
Ce scénario d’empilement d’ateliers brouillons est utile lorsque vous avez un « workflow » de production d’écriture et de relecture à plusieurs niveaux :
Dans l’atelier brouillon A (de l’atelier racine ou d’un atelier dérivé, peu importe), Alfred apporte des modifications. Alfred doit faire relire le contenu par Bernard (c’est un expert technique, ou une aide orthographique ou stylistique…) , mais c’est bien Alfred qui est responsable du contenu final qu’il fournira.
Alfred crée donc un atelier brouillon B de son propre atelier brouillon A qu’il fournit à Bernard.
Bernard apporte des modifications aux contenus dans son atelier B.
Une fois le travail de Bernard achevé, Alfred les passe en revue et les valide (ou pas) dans son propre atelier brouillon A. Il supprime l’atelier brouillon B.
Encore quelque ajustements dans A et Alfred valide toutes les corrections de A dans l’atelier de référence de A. C’est terminé.
Auparavant il était possible de créer cette dérivation de second niveau à partir de la dérivation de premier niveau.
A qui de nous deux notre mémoire nous joue un tour ? Je n’ai plus de Scenari serveur 4.2 sous la main, pour vous le prouver, alors on parie une bière aux prochaines rencontres Scenari ?
tenu !!!