Restriction de droit sur un atelier

Pour répondre à ta question @spi : on pourrait faire ce que tu décris, c-a-d générer un contenu racine qui référencerait des items non visibles, seulement si cet item existe. Je dirais donc que c’est de la responsabilité de la personne qui maîtrise les accès aux différents espace de gérer les items et espaces pour que ça n’arrive pas, de la même manière que cette personne ne doit pas se planter au moment de donner les accès aux ateliers/espaces. Quelqu’un qui n’aurait pas accès aux items cachés ne pourrait pas les référencer dans un item de publication pour « tricher ».

Plus généralement, ma réflexion va dans ce sens : si on veut développer l’usage de Scenari comme outil directement utilisé par les élèves/étudiant⋅e⋅s dans le cadre de leur apprentissage, j’ai le sentiment qu’il est nécessaire de permettre aux encadrant⋅e⋅s de créer des environnements d’édition compartimentés pour chaque élève ou groupe d’élève, et de pouvoir passer de l’un à l’autre rapidement et facilement (quand il⋅elle corrige par exemple).

Exemple qu’on avait imaginé avec un @patrice et @TMB : compte-rendu de travaux dirigés où les élèves doivent remplir un item Optim. On ne veut pas que les élèves puissent voir et copier ce que d’autres ont rédigé.

Actuellement on peut faire ça en faisant un atelier Optim par élèves. Du coup une 30aine d’atelier Optim pour une classe, une 30aine d’autres ateliers Optim pour une autre classe, et ainsi de suite. Peut-être pas hyper pratique pour l’enseignant⋅e. Alors que un atelier par classe avec 30 espaces visibles/invisibles dedans, et qu’on peut consulter casi-simultanément (c-a-d avoir plusieurs espace et items ouverts), c’est plus gérable. Je laisse les profs confirmer ou infirmer.

Après, la solution ne serait peut-être forcément pas d’intervenir sur les accès aux ateliers et espaces, mais plutôt sur la « navigabilité » des ateliers (groupes d’ateliers, ouvrir plusieurs ateliers différents, …). Je sais pas.